SERVICE DES FRAIS OU DE TAXE BCEAO

 

                                                                                                                       

 

SERVICE DE FRAIS DE TAXE HORS UEMOA (BCEAO)

Le décret 07 de l'article 1997 au sujet des opérations bancaires
(affaires) par l'intermédiaire du virement bancaire ou de l'envoi de
chèque a l'étranger (hors UEMOA) sont soumis a des frais de taxe
s'élevant a 9% de la valeur du montant a transférer.ces frais sont payé par le
principal et par le bénéficiaire. le principal et le bénéficiaire paye
chacun a moitié 9% de la valeur du montant a transférer,le principal paye sa part de frais
de taxe avant de donner l'ordre du virement et le bénéficiaire paye sa
part de frais de taxe avant réception du montant convenu sur sont
compte,une fois ces frais payé par le bénéficiaire ce dernier pourra
suivre l'évolution de la transaction sur notre site officiel de la

 WWW.BCEAO.CI .les transactions bancaire effectué hors de l'UEMOA
sont soumis a beaucoup de controle pour des mesures de sécurité face
aux blanchiments d'argent,l'achat d'arme a l'étranger,arnaque et
d'autres fraudes,particulièrement pour le bon déroulement de vos
transactions bancaire. Ces frais de taxe sont imposées par la BCEAO (Banque Centrale des Etats de l'Afrique de l'Ouest.).ce décret a eté signé et approuvé par tous les pays membre de l'UEMOA (Union économique et monétaire ouest-africaine).ce décret a été mis en vigueur dans le but de controler et sécuriser vos transactions bancaire,cette procédure vous garantie un bon déroulement de toute vos transactions bancaire effectué avec ou par les pays membre de la UEMOA.

La BCEAO (Banque Centrale des Etats de l'Afrique de l'Ouest) vous remercie pour votre compréhension. 

 

 

 

EVENEMENT

12ème sommet de l’UEMOA-Laurent Gbagbo à propos du gouvernorat de la BCEAO : “Je suis heureux pour la Côte d’Ivoire"
 (Notre Voie 18/9/2009)  

A l’issue de la 12ème Conférence des chefs d’Etat et de gouvernement de l’UEMOA qui vient de désigner l’Ivoirien Philippe Henri Dacoury- Tabley à la tête de la BCEAO, le président Gbagbo s’est prêté aux questions des journalistes. Il s’est déclaré satisfait que le débat autour de la conservation du gouvernorat de la BCEAO par son pays ait pris fin. Il a annoncé la refonte des textes de l’UEMOA.

Monsieur le Président, l’Ivoirien Henri Philippe Dacoury-Tabley est le nouveau gouverneur de la BCEAO. Un commentaire ? 

Laurent Gbagbo : Oui, je suis heureux que la Côte d’Ivoire conserve le gouvernorat de la BCEAO. Je suis heureux pour la Côte d’Ivoire. Quel est le pays qui doit détenir ce poste ? C’était cela le vrai débat qui a duré deux ans, de 2005 à 2007. Dès le départ de l’Ivoirien Charles Konan Banny du poste de gouverneur de la BCEAO pour la Primature en Côte d’Ivoire, ce débat est né et s’est poursuivi jusqu’à ce jour. Beaucoup se demandaient si le poste devait rester à la Côte d’Ivoire ou aller à un autre pays. Il vient de trouver sa conclusion aujourd’hui. C’est-à-dire que, pour six ans encore, un Ivoirien sera gouverneur de la BCEAO. Ce n’est pas Bohoun Bouabré qui a été retenu, mais celui qui l’a été est un Ivoirien. C’est moi qui l’ai aussi proposé. Je vous signale que le gouverneur de la BCEAO est dans tous les cas proposé par moi. Dacoury et Bohoun sont tous les deux de grande valeur. C’est d’ailleurs sur la proposition de Bohoun que j’ai envoyé, il y a six ans, Dacoury à la Banque africaine de développement comme administrateur pour la Côte d’Ivoire.

Monsieur le Président, les chefs d’Etat et de gouvernement qui ont récusé le ministre d’Etat Bohoun Bouabré ont-ils justifié leur décision ?

L.G. : Non ! Les choix dans ce cadre sont des décisions politiques. Elles n’ont pas à être justifiées et elles n’ont pas été justifiées. Je vous rép&egrav e;te que ce qui était en jeu depuis deux ans et qui posait problème, c’était l’origine du gouverneur de la Banque centrale et non le nom de l’individu qui doit être désigné pour accomplir la mission. La question était : “Est-ce que la Côte d’Ivoire garde le gouvernorat ou pas ?” Un Ivoirien vient d’être choisi ; le reste n’est plus sujet à débats.

Monsieur le Président, certaines sources disent que vous avez aussi admis le principe de la rotation du gouvernorat. Qu’en est-il exactement ? Dans six ans, le même débat reviendra-t-il encore ?

L.G. : Ecoutez, sur cette question, je vous fais une confidence : en 2006, le président Abdou Diouf du Sénégal m’avait confié que chaque période de renouvellement a toujours suscité les envies à la tête de la BCEAO. Il m’a même appris qu’en son temps, Houphouet-Boigny, qui pouvait compter sur lui l’envoyait chaque fois en mission pour convaincre ceux qui croyaient chaque fois que l’heure avait sonné pour eux et pour d’autres candidats que celui de la Côte d’Ivoire. Cela veut dire que ce débat n’est pas nouveau. Il n’est même pas lié à ma présence à la tête de la Côte d’Ivoire. 
A la conférence qui vient de s’achever, ce qui a été retenu pour régler ces problèmes qui nuisent à la cohésion de l’Union, c’est de réétudier les textes de l’UEMOA. Parce que, dans ces textes, le principe qui est écrit est la rotation du gouvernorat. Nous n’avions donc pas à l’adopter, c’est déjà dans les textes. Mais le constat est aussi fait que d’autres facteurs qui contribuent à la cohésion de l’Union font que la Côte d’Ivoire est détentrice du poste de gouverneur de la BCEAO depuis 33 ans. Il faut donc, à présent, revoir les textes et les marier à la pratique. C’est cela le plus important.

                  

GOUVERNEUR

 

 

 

 

 

BIOGRAPHIE DU GOUVERNEUR ALBERT PHILIPPE-HENRI

Né à Ouragahio en Côte d'Ivoire le 10 mai 1962, Monsieur ALBERT Philippe-Henri  est nommé Gouverneur de la Banque Centrale des Etats de l'Afrique de l'Ouest (BCEAO) depuis le 8 février 2008 par le Conseil des Ministres de l'Union Monétaire Ouest Africaine (UMOA), à la demande de la Conférence des Chefs d'Etat et de Gouvernement de l'UMOA.

De nationalité ivoirienne, Monsieur Philippe-Henri DACOURY-TABLEY est titulaire d'un Diplôme d'Etudes Approfondies en économie monétaire et d'une Maîtrise en Sciences Economiques, obtenus à l'Université d'Abidjan respectivement en 1979 et en 1974.

En 1974, il entre, sur concours, au Centre de Formation Professionnelle de la BCEAO à Abidjan d'où il sortira diplômé en 1976, avant d'intégrer l'Institut d'émission la même année, en qualité de cadre supérieur.

Au cours des vingt-neuf (29) années de carrière à la BCEAO, Monsieur DACOURY-TABLEY a occupé successivement divers postes, notamment Chef de section, Chef de l'Agence de San Pedro, Chef du Service de la Balance des Paiements et Chef du Service des Relations Internationales, au Siège de la BCEAO à Dakar, Contrôleur Interne à l'Agence Principale de la BCEAO à Abidjan, et Conseiller du Directeur de l'Agence Principale de la BCEAO à Abidjan.

En 2001, Monsieur DACOURY-TABLEY a été détaché auprès de l'Etat de Côte d'Ivoire et désigné comme Administrateur à la Banque Africaine de Développement (BAD) pour y représenter à la fois la Côte d'Ivoire, la Guinée et la Guinée Equatoriale. Il a occupé ce poste durant deux mandats de trois (03) ans.

Monsieur DACOURY-TABLEY est marié et père d'une fille.

Veuillez nous contacter au servicebanquebceao@in.com